je me demande bien pourquoi on se force, quand on sait que ce qui est mieux encore, c’est de se laisser aller.

17 novembre 2010

ça doit être une sorte de contrat social, je sais pas. Je vais aller mettre du vernis, mais je sais bien que je tiendrai pas deux couches à rien faire en attendant que ça sèche.
Et la prochaine fois je vous raconterai si vous êtes encore abonné, pourquoi j’arrive pas à m’amuser dans les soirées, et par quel miracle j’ai toujours les cheveux emmélés. Enfin ou autre chose, on verra bien au moment opportun.
bisou.

4 Réponses vers “je me demande bien pourquoi on se force, quand on sait que ce qui est mieux encore, c’est de se laisser aller.”

  1. c'est quoi ça ? said

    Le yoyo du moral ?! 🙂 je connais va, et m’est d’avis qu’on n’est pas seules dans ce cas.

    Sinon, dis moi, comment se fesse-t-il que tu saches que c’est vers 2h que ta voiture fut retirée, et à quelle heure es-tu grimpée dans ce méveiweux taxi pour arriwer à 6 heux aloweux que t’auwais dû domi à cette heux là ?!!!

    Bisous two

  2. mariemartinejackson said

    Because : mon mecton s’est couché à 2h, et moi levée à 5h, ce qui nous laisse 3h de battements.

  3. mais vous êtes fous ?! said

    Oh oui ! 😉

    • mais qu'est-ce qu'il m'a pris ?!! said

      de faire référence à Benny B ?!! OK, même si on n’était pas né, Beethoven ou Molière, on connaît tous, mais Benny B n’est certainement pas le groupe qui traverse les décennies, peu de chance que tu aies déjà entendu ce groupe…
      N’empêche, juste pour le kiff « mais vous êtes fous ? oh oui ! »
      =)

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