T shirt will Ferrell

28 mai 2010

t-shirt will Ferrell

ami qui est arrivé sur mon blog avec cette requête sache que moi aussi je cherche ce fameux t shirt avec le visage de Will Ferrell. Je l’ai pas. SI tu trouves, reviens et donne moi le tuyau.
Bisous

Un soir avec Fun, Culture & Pop et Mogadishow on a fait la promesse solennelle de ne jamais utiliser Facebook comme moyen d’enternainer un public qui se serait déplacé afin de nous lucrativer. Déjà parce que tout le monde le fait, et aussi parce que ça serait trop facile. Mais je voudrais leur demander : si j’ai des choses nouvelles à dire sur le sujet, c’est valable aussi ? Non parce que j’ai remarqué quelques trucs que j’ai réservé (dire ce mot pour moi c’est comme entendre une personne tordre ses gants en cuir tout près desquels on aurait collé un mico. C’est horrible… « Réserver ».. Brefffeeeuuh) quelques détails dans mon cahier qui, je crois, worth it, so lemme work it ©. Y’a les filles qui se prenennt en photo le corps (=bonne mais moche), celles qui se prennent en photo que jusqu’aux épaules (= j’ai des beaux yeux mais je pèse lourd et les gens ne sont pas près). Y’a aussi les filles qui se font facilement liker le statut, souvent c’est parce qu’elles sont plutôt bonnes / ET / OU une frange droite ET / OU une photo en N&B. Rien n’arrête alors les likeurs, même si la frate parle d’elle à la 3ème personne et même si elle écrit « hi hi hi » , ça like ça like, façon FaceBukkake en quelque sorte. (Je remercie d’ailleurs MonQ de m’avoir appris en quoi consistait cette pratique, et pour la diversité de nos conversations).
DONC, je disais, oui, Facebook c’est assez médiocre. Ca n’aide pas à s’élever puisqu’il faut seulement montrer qu’on est cools, ça n’aide pas à s’accepter, puisqu’il faut se détagger sur les photos où on la bouche ouverte ET / OU un nez de cochon, ça n’aide pas non plus à relativiser puisqu’un statut peu commenté = un membre peu populaire. Je pourrais continuer comme ça pendant une heure mais une promesse est une promesse, et puis comme sus énoncé, ça compte pas comme un article alors je m’arrête comme ça :
Comme ça.
Bisou !

Alors déjà, y’a le film The Invention of lying. Ca aurait dû être le film de l’année dans l’idée, parce qu’on est quand même en train d’expliquer comment potentiellement sont nés la religion ET slash OU le mensonge.
Bon sur la forme quelques raccourcis (faut savoir que là je viens de mettre 1’30 à trouver où mettre tous les accents sur « légèreté » pour au final changer le mot par « raccourcis », bâtarde) scénaristiques tendent à faire croire que le mec qui l’a pensé voulait pas se faire chier ou que le film était adressé à un public « différent ». Mais bref, à part Jennifer Garner qui semble se tordre de douleur lorsqu’elle veut faire passer une émotion, ouais, c’était sümbadich.
Ensuite, y’a eu Valence dans la Drôme, enfin non en vrai, c’est Saint Donat comme les sandouiches mais ça c’était déjà y’a une semaine. Là bas pour le week end, j’ai été FORCEE de rencontrer mon fantôme d’il y a dix ans, en la personne d’une ado caractérisée principalement par trop de crayon noir et une envie d’être née au Maghreb alors qu’elle avait dû être chiée à St Vallier à une dizaine de miles de là. La gamine a failli me niquer mon we avec piscine à base de regards par en dessous et de provocations en carton. Le problème à ses yeux de Khol fardés, c’était que sa mère avait prêté sa maison (à nous) pendant qu’elle était en vacances, et que la gamine ça lui ôtait la possibilité de squatter à discrétion un endroit chaud avec ses amis d’obédience minoritaire. La fille croyait m’apprendre la vie, j’étais désarmée par tant de manque d’organisation dans son mensonge. Ca sentait la beuh dans sa chambre, elle a dû me réveiller à 3am parce qu’elle n’avait pas de clé, BREF, CATA. La vérité c’est que si elle avait été sympa, j’aurais vraiment pu lui relooker la rebellion, mais nan, pas dans ces conditions. Alors nique les noisettes, j’ai laissé l’enfant se faire cramer et s’embrouiller dans ses mensonges, tant pis pour ses castagnettes.

Aussi y’a eu le palais idéal du Facteur cheval.

Ah oui, y’a aussi Vie à deux, on le reprend ou pas ? C’est vrai que depuis l’arrêt du blog, deux vies ont été cramées par le bout de la chandelle, on a chacun de notre côté déménagé 3 fois, alors avons-nous encore l’innocence d’écrire un blog zusammen avec Jojo ? Ché pas. Mais ce qui donne envie, c’est que sur la tête de ma mère des fois il faudrait un scribe tellement on a des conversations de ouf (bisou Jojo !)

ET POUR FINIR SUR UNE NOTE PRIMORDIALE
, je voulais évoquer un problème que j’ai et comme j’ai revu Fight Club avant hier ça me fait genre péfli mais grave : ALORS VOILA, quand j’ai fini de manger, je me parle toute seule, du style « mais putain, t’aurais pas pu t’arrêter avant, t’étais obligée de bouffer comme la plus grosse femme du monde du Guiness book celle qui fait peur ? Hein ? T’aurais pas pu prendre genre une salade ? » Je pense pas être la seule, mais voilà, c’est un vrai problème dans ma tête et dans mes cuisses. (Depuis que j’ai dix ans dans mon bain je me mesure la circonférence de cuisse avec les index et pouces de chaque main – un peu comme le signe de Rockafella mais en plus rond- je mets cette forme autour de ma cuisse, si je ferme c’est bon, si je ferme pas c’est pas bon signe du tout)

la vie des gosses, j’écris avant une semaine à nouveau si j’ai cinq commentaires. A vous de voir. BISOU

c'est ça que je fais autour de ma cuisse en enlevant les doigts inutiles